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action/pétition  en cours

n'hésitez pas à consulter le module Albums/Photos pour traductions de pétitions
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brèves !!!!!!!

"Viva Palestina" est un convoi de 110 véhicules acheminant de l'aide à Gaza
sur l' initiative d'un Anglais, Georges Galloway.
Le convoi est passé en France, reçu par Noël Mamère, mais personne n'en a
parlé dans les medias : incroyable, non ?
110 camions ! Passés inaperçus !
Le long de son trajet , le convoi a été très bien accueilli dans tous les
pays, sauf en Tunisie où la population n'a pas eu droit à montrer sa joie,
et en Egypte où le passage s'est mal effectué : retards, mitraillage par un
faux gang du Fatah, pour discréditer l'initiative.


 ils sont arrivés, ce 9 mars 2009.

coups de coeur








vidéos
"coups de coeur"



sit in de soutien à Salah Hamouri


Salah Hamouri  a 24 ans


Bassem Ibrahim abu-Rahma
 mortally wounded



Tristan Anderson  toujours dans état critique


Ni'ilin 13 2 09


Manifestation soutien pr Gaza
à Dijon 10 01 09... .5 FIN




2 juin 2010 3 02 /06 /juin /2010 12:01

 

 

 

Nous nous trouvions en centre ville de Dijon à l'angle de la rue de la Liberté / rue des Godrans

pratiquement devant H&M

Plusieurs manifestations ayant eu lieu ce même jour,  nous avons joué notre rôle avec la présence de nos compagnons associatifs en face  d'un public diversifié ....

 

 

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2 juin 2010 3 02 /06 /juin /2010 01:55

palestine-resistance.JPG
Contre le carnage commis par les Israéliens sur la flottille humanitaire de Gaza.

Un rendez-vous a eu lieu ce mardi 1° juin à 18 heures, Place de la Libération , pour un rassemblement suivi d'une manifestation sur l'axe Mairie / place Darcy

Les principales associations faisant partie du -Collectif Solidarité Palestine21- étaient présentes
AFPS, Mvt de la Paix, PCF, Attac, FSU, AFPS, UJFP, LDH, Libertés culture, Jeunesses musulmanes de Bourgogne.

Les intervenants se sont exprimés sur le lieu du rassemblement place de la libération ....



 

 

 

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1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 15:26
 

 


Le collectif BDS a donc mené sa première action de boycott contre les produits Ahava, devant le magasin Sephora.
Nous étions environ 14 participants.
Les passants étaient très intéressés par le grand panneau fait par Robert et nous étions bien situés, en plein  centre ville.
On sent que l'opinion est dans l'ensemble  réceptive.
Des vendeuses sont venues nous dire leur accord.
Dijonscope est venu à notre appel.
Le directeur du magasin a appelé la police, qui s'est montrée débonnaire.


SIGNATAIRES


les Alternatifs
l’AFPS
Attac
la Cimade
la CNT
la FSU
le Mouvement pour une alternative non violente (Man)
le Mouvement de la Paix
le MRAP
le NPA
le Parti de Gauche
l’UJFP.
 


 

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9 mars 2010 2 09 /03 /mars /2010 23:08



 


Au lieu de 400 comme le note le Figaro ou 1600 comme le rapporte le Midi Libre nous étions presque et quasiment 2OOO d'après d'autres sources dont la presse locale et les miennes sur le front strictement militants dont CCIPPP et les organisateurs de la marche nous rejoignant sur cet avis.


J'ai pu retrouver quelques liens dont Halima Boumediene, Olivia Zemor, Laurent notre organisateur dans la Freedom March, Magali s'y trouvait mais je ne l'ai pas croisée. Il y en avait d'autres dont un marcheur du Caire et son père qui nous rejoint en cours de marche au niveau de Frontignan.

En fin de parcours et ,, de journée lorsqu'après les diverses interventions en centre ville dont un intervenant palestinien, la "confédération paysanne", le syndicat "solidaires" , le cinéaste israélien Eyal Sivan etc ... et bien d'autres lorsque nous nous sommes retrouvés sur l'espace portuaire j'ai pu croiser Sakina Arnaud que j'ai assuré d'un soutien solidaire et dont elle a le plus grand besoin actuellement sur tous les fronts ,,,,

Aucun problème notable avec les autorités !
à côté du Caire franchement c'était du discret!


Les mouvements de foule étaient unanimes toutes générations confondues avec beaucoup d'entraide et de solidarité intermilitante et citoyenne du fait de la Marche qui exception faite d'une courte partie en bus dans le milieu du trajet en revenait tout de même à 22kms de Montpellier à Sète.

A noter que pour un samedi de presque printemps compte tenu de la région les grands axes de circulation étaient consacrés au parcours, la circulation routière se retrouvant en marge.

Est-ce à noter aussi, aucun débordement malgré la tension et autant les slogans que les déclarations officielles, ce qui n'a pu donner de prise autant de la part des opposants que des autorités ?

Enfin on pouvait remarquer toutes les générations allant du nourrisson jusqu'aux personnes âgées, sans compter les familles et tous ceux qui pouvaient souffrir de quelques troubles qui pour le coup ne les entravaient en rien .

- brèves AFPS21:UJFP21 du 07/03/2010 -







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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 17:51


Photobucket

 

 

          Pourquoi un boycott   des produits venant d’Israël ?

 

Comme vous le savez sans doute, le boycott des produits venant d’Israël est revendiqué par un grand nombre d’associations, en France, en Europe, aux USA. A Dijon, se sont pour l’instant réunis autour de cette action : l’Association France Palestine Solidarité (AFPS), Attac, la Cimade, la CNT, la FSU, le Mouvement pour une alternative non violente (Man), le Mouvement de la Paix, le MRAP, le PCF, l’UJFP.


D’où vient ce mouvement ?

Il a été initié par les Palestiniens de Cisjordanie, dès 2005.

Ceux-ci luttent depuis des années contre le vol de leurs terres, lesquelles sont octroyées aux colonies israéliennes (à leurs côtés, dans la lutte, on trouve des opposants israéliens et des “internationaux”)
Or ils luttent en vain. Les colonies ne cessent de s’étendre, rendant impossible la création d’un Etat palestinien.

 

Voir les cartes ci-dessous :

 

http://www.lepost.fr/article/2009/01/06/1376559_palestine-la-carte-de-60-ans-d-occupation.html


http://www.ladocumentationfrancaise.fr/cartotheque/murs-colonies-cisjordanie-2007.shtml

 

Depuis 1967, plus de 18000 maisons y ont été détruites. Plus d’un million d’arbres ont été arrachés. 80% de l’eau est confisquée par Israël. Routes réservées aux colons israéliens, barrages, murs, font que 38% de la Cisjordanie sont désormais inacessibles aux Palestiniens.

 

En 2005, plus de cent associations et ONG palestiniennes ont donc demandé aux associations de lutte pour la justice en Palestine, partout dans le monde, de boycotter les produits issus des colonies.

Certains Palestiniens vont perdre leur travail et leur revenu, car ils travaillent pour les Israéliens dans les colonies : mais, désespérés par la colonisation, ils prennent ce risque.

 

Par ailleurs, le camp de la paix présent dans le monde, courageux et constant, a beau écrire, protester, manifester, ses résultats restent faibles, quasi sans écho dans les medias. Or une action de boycott permet d’exercer une pression importante et peut devenir un facteur politique non négligeable.

 

Le problème qui se pose alors est le suivant :

Comment savoir quels sont les produits qui viennent

des colonies ?
Certains ont pu être répertoriés par des observateurs, sur le terrain.

 

Il en va ainsi par exemple des serres israéliennes de la compagnie Agrexco, situées dans la Vallée du Jourdain occupée, ou de la firme Soda Club, située dans la grosse colonie de Maale Adoumim, près de Jérusalem-Est, et dont les produits sont commercialisés un peu partout en France.


Mais la traçabilité des produits israéliens n’est jamais indiquée…

 

Autre question :

Les colonies israéliennes en territoires occupés sont illégales au regard du droit international : comment se fait-il qu’ Israël puissse en exporter des produits sans problème ?

Israël bénéficie d’un “accord d’association” avec l’Union européenne, accord qui lui permet d’être exempté d’ un certain nombre de taxes sur ses exportations.

Cet accord ne s’applique évidemment pas aux produits venant des colonies, lesquelles ne sont pas “israéliennes” puisqu’elles sont illégales selon le droit international.

L’Union européenne a donc demandé à Israël de mentionner sur ses produits leur provenance exacte. Israël a promis de le faire mais n’a jamais obtempéré. C’est pourquoi, dans l’ignorance et dans la suspicion, nous nous voyons obligés de boycotter tous les produits en provenance d’Israël.

 

Le boycott est-il légal ?

En soi, boycotter un Etat n’est pas légal et les amis d’Israël mènent une campagne active pour faire juger les boycotteurs. Il est interdit d’entraver “l’exercice normal d’une activité économique à raison notamment de son appartenance à une nation”. Mais nous répondons que nous cherchons à entraver “l’exercice anormal” de l’activité économique en cause. Exercice “anormal”, puisque ayant lieu dans des territoires occupés.

 

En quoi consistent nos actions ?

-Nous surveillons les produits fournis pas les magasins. En cas de provenance d’Israël, nous demandons au directeur s’il connaît la provenance exacte de ses produits : Israël ou colonies ? Quand il l’ignore, nous lui expliquons qu’il risque d’être dans l’illégalité, et nous lui demandons de ne plus vendre de tels produits.

Nous photographions les produits litigieux : par exemple des oranges marquées : “Israël” et USA” en même temps.

Nous notons les anomalies au service des fraudes.

-Nous écrivons aux directeurs de magasins et aux centrales d’achats, en leur demandant la provenance exacte de leurs produits marqués “Israël”.

-Nous informons les clients par des distributions de tracts à l’entrée des magasins. Nous leur faisons signer des pétitions que nous remettons ensuite au directeur du magasin. Certains groupes font des opérations coup de poing, en s’introduisant dans les magasins munis d’un haut parleur pour alerter la clientèle.

-Nous intervenons auprès des instances municipales ou régionales, pour les interpeller sur leurs liens (commerciaux et autres) avec la colonisation.

 

Ainsi la ville de Sète est-elle le lieu de multiples manifestations, car le maire (a décidé d’y implanter une plateforme qui commercialisera les produits de la firme colonisatrice Agrexco, laquelle compte pourvoir toute l’Europe en fruits et légumes venus à 70% des colonies.

Déjà les fruits et légumes Agrexco sont commercialisés par les magasins Carrefour.

  -Nous intervenons auprès de l’Union européenne pour lui demander de suspendre son accord d’association avec Israël.


Pourquoi ce type d’action est-il souvent appelé “BDS” ?

Parce que nombreux sont les groupes qui pensent que le boycott venant des consommateurs (B) ne suffit pas, et qu’il faut aussi demander le “désinvestissement” (D) : à savoir appeler les firmes à ne plus investir en Israël, quand cela contribue à la colonisation.


C’est ainsi que sont visés par exemple Caterpillar, firme américaine qui vend à Israël les bulldozers qui détruisent les maisons, ou Starbucks, qui finance l’armée israélienne.

La société française Véolia, qui construit à Jérusalem un tramway reliant les colonies, a perdu de nombreux marchés à cause d’interventions multiples.

La société Alstom fait l’objet d’une mise en jugement, pour son implication dans ce tramway.

La banque Dexia, banque belge qui finançait des colonies, suite à de nombreuses protestations, a fini par en retirer ses capitaux.

Ce ne sont là que quelques exemples.

 

Quant aux “sanctions” (S), elles semblent indispensables puisque le rapport Goldstone accuse Israël de crimes de guerre, voire de crimes contre l’humanité, à la suite de l’opération “Plomb durci”, à Gaza, à la fin de l’année 2008, opération qui a fait plus de 1300 morts et un nombre incalculable de dégâts.

 

Ainsi des dirigeants politiques et militaires israéliens se sont venus menacés de poursuites judiciaires s’ils entraient en Grande Bretagne, si bien que le Premier ministre Gordon Brown a dû faire modifier la loi pour éviter les ennuis diplomatiques…

En Turquie, une association de défense des droits de l’homme porte plainte contre le ministre de la défense israélien, Ehoud Barak.


Le mouvement pour le BDS est-il diversifié ?

Bien sûr ! Et les débats ne manquent pas !

Tandis que tous les groupes de protestation mènent une lutte sur le terrain économique, certains vont plus loin et optent pour le boycott sportif, culturel, universitaire pour sanctionner l’ensemble de la politique israélienne.

Par ailleurs, certains disent ne pas sanctionner seulement la colonisation, ils boycotteront tant qu’ un Etat palestinien n’aura pas vu le jour, tant que Gaza restera enfermée dans un blocus impitoyable.

 

Ce mouvement de BDS a-t-il un retentissement ?

Oui. Ce mouvement d’action citoyenne non violente a de plus en plus d’impact pour alerter les opinions, y compris l’opinion israélienne.

Il existe dans tous les pays du monde où une opinion peut s’exprimer.

-Certains Etats (Venezuela, Bolivie) ont rompu leurs relations avec Israël.

-L’Espagne boycotte l’université d’Ariel, située en territoire occupé.

-L’Allemagne refuse de commercialiser les produits Soda Club tant qu’ils sont fabriqués dans les colonies.

-Les syndicats britanniques, soit 6,5 millions de travailleurs, s’engagent à construire un mouvement massif de boycott, en vue d’un règlement négocié du conflit, basé sur la justice.

-La Grande-Bretagne pratique aussi à grande échelle le boycott académique.

-La Turquie a notablement réduit ses importations de produits agricoles venant d’Israël.

-Il en est de même pour la Norvège, le Danemark, la Suède.

-En France, le conseil régional Rhône-Alpes soutient la campagne BDS. Dans ce cadre, elle s’engage, dans les marchés publics à boycotter les produits fabriqués en Israël.

Elle s’engage aussi à rompre toute relation avec toute institution représentante du gouvernement israélien.

 

Quoi qu’il en soit, il s’agit de combattre une politique, pas un peuple ni une religion (la religion juive). Le mouvement dans son ensemble est attentif à éviter tout propos ou acte antisémite. Il vise une politique coloniale d’occupation et de colonisation.

 

Ce qui est tragique, c’est que pour gagner leur vie, nombre de Palestiniens sont obligés de travailler à leur propre perte : ce sont eux qui ont construit les murs qui leur volent des terres, ce sont eux qui construisent les colonies, ce sont eux qui souvent y travaillent.

 

Produits israéliens : code 729.
Quelques marques parmi d’autres :

Carmel, Coral, Kedem, Eco-fresh, Biotop,

Cosmétiques Ahava,

Soda club.

 

AFPS21/UJFP21


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pour l'AFPS nationale ...

La position du gouvernement Fillon s'est durcie en ce qui concerne la campagne BDS que mène le mouvement de solidarité avec la Palestine.

Devant la campagne de répression qui s’installe nous devons tous réagir en nous positionnant dans une position très stricte afin de ne donner prise aux coups que les amis d’Israël entendent bien  porter à l'encontre de cette démarche.

Trois courriers se trouvent sur le site BDS expliquant clairement notre position dans cette démarche.

Ci-joint la version type qui sera émise sur le site national sous forme de pétition.

"Il est clair pour nous que les exigences prioritaires aujourd’hui sont l’interdiction d’entrée dans l’UE des produits frauduleux des colonies et la suspension de l’Accord d’association, dans le cadre renouvelé de la campagne BDS."

(3)
Si vous écrivez, mentionnez nom, prénom et ville et signez

Adressez à...
francois.fillon@pm.gouv.fr
jean-paul.faugere@pm.gouv.fr (Directeur de cabinet de Fillon )
charles.fries@pm.gouv.fr (Conseiller diplomatique)


(1)BDS : Lettre ouverte à François Fillon
de
Jean-Claude Lefort Président de l’AFPS
(http://www.france-palestine.org/article14061.html)


(2) Courrier type à adresser à Monsieur le Premier ministre,

La Cour européenne de justice vient de condamner, par un arrêt du 25 février 2010, les importations des produits de toutes les colonies
israéliennes qui se prévalent indûment de l’Accord d’association Union européenne -Israël en vigueur depuis l’an 2000. Elle rappelle que
toutes les colonies sont illégales en ce qu’elles sont parties non pas d’Israël mais de la Cisjordanie.

Cet arrêt majeur engage votre gouvernement. Il vous engage également pour son application sur le territoire français, chose à laquelle vous vous
refusez malgré nos initiatives multiples, par exemple celles contre l’implantation d’Agrexco à Sète, mais aussi toutes les démarches que
nous avons effectuées auprès des ministres en charge ou bien encore auprès des importateurs et distributeurs de ces produits frauduleux.

Or non seulement vous n’appliquez pas le droit mais vous calomniez ceux qui le défendent. Vous avez osé, devant le CRIF, mettre un signe
d’égalité entre les produits israéliens et les produits « casher ».

Votre ministre de la justice allant même jusqu’à envoyer une circulaire aux Parquets pour, en s’appuyant sur une loi datant de 1881, leur
demander de poursuivre ceux qui, à la différence de votre gouvernement, s’opposent à l’introduction hors la loi des produits des colonies.

Vous trouvez que cette action est « scandaleuse ». Ce qui est triplement scandaleux, en vérité, ce sont vos propos et votre positionnement. Il est
scandaleux et diffamatoire de laisser planer le soupçon « d’antisémitisme » sur ceux qui s’opposent à la politique
israélienne et non pas aux produits casher qui n’ont strictement rien à faire dans ce débat, et vous le savez parfaitement. Ce qui est scandaleux
c’est de dénigrer et de chercher à faire condamner, y compris en ayant recours à la justice qui est rendue au « nom du peuple français », ceux
qui agissent conformément au droit pour les assimiler odieusement à des « incitateurs à la haine raciale ». Ce qui est scandaleux, enfin,
c’est de ne rien faire pour mettre un terme à l’impunité des dirigeants israéliens qui tirent profit de votre posture, dont
l’Ambassadeur d’Israël en France a pu dire qu’il en était maître d’œuvre, pour tourner le dos à la paix et à l’application du droit
international.

C’est pourquoi, Monsieur le Premier ministre, vous nous trouvez plus que jamais déterminés à exiger de vous l’application du droit. Nous vous
demandons que soient condamnés ceux qui doivent l’être puisqu’ils bafouent la loi qui vient d’être rappelée par la Cour européenne de
justice. Nous exigeons de vous qu’il soit fermement rappelé à l’Ambassadeur d’Israël en France qu’il n’interfère en aucun cas
dans nos affaires intérieures. Et nous vous demandons expressément d’agir pour la suspension de l’Accord d’association UE-Israël qui ne
vaut que si les droits de l’Homme sont respectés par Israël (article 2). Il est « fondé » sur cette clause essentielle. Elle n’est pas
respectée, loin s’en faut. Nous continuons donc, en l’amplifiant, la campagne BDS jusqu’à ce qu’Israël applique le droit international.  

Vous êtes du côté des tenants de la loi du plus fort. Nous sommes du côté du droit et de la justice.


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31 janvier 2010 7 31 /01 /janvier /2010 08:28

dijOnscOpe

Récit du voyage des trois marcheurs Dijonnais sur Gaza

Le Caire... toujours nid d'espions?

par Hanaë Grimal | dijOnscOpe | ven 29 jan 10 |

 

Partis rejoindre 1400 autres marcheurs pour Gaza fin décembre 2009, trois Dijonnais se sont confrontés à la réalité du terrain... Durant tout leur séjour, il leur sera effet impossible de franchir la frontière égyptienne de Rafah et donc d'accomplir la mission qu'ils s'étaient fixés : "Marcher dans Gaza pour une manifestation non violente qui brisera le blocus illégal". Face à eux, le gouvernement via les policiers égyptiens s’oppose à leur initiative. Jeanne-Marie Jacquemond, l'un des trois marcheurs, revient sur cette apparente mésaventure... qui ne se révèle pas un échec pour autant, tenant son lot de rebondissements comme dans tout bon film d'espionnage.

Cette "Gaza Freedom March", comment s'est-elle organisée ?

"C'est une association américaine, "Code Pink", qui en est à l'origine. Le but étant de lancer cette marche avec les coalitions internationales les 31 décembre 2009 et 1er janvier 2010, afin de marquer la date anniversaire des 22 jours d'attaque d'Israël sur Gaza l'an passé. En tout, il y avait 1.400 personnes dont 500 Français, issus du groupe EuroPalestine et d'un collectif regroupant plusieurs associations, notamment l'Association France Palestine Solidarité dont je fais partie. Parallèlement, une autre marche devait partir de Jérusalem pour se rendre au nord de Gaza et ainsi nous rejoindre de l'autre côté du mur.

Sauf que tout ne s'est pas passé comme prévu...

Non, en effet... Avant de partir, nous avions suivi des formations organisées par notre collectif, durant lesquelles nous avions reçu des consignes : comme par exemple de ne pas manifester en Égypte pour ne pas gêner l'opposition égyptienne qui nous avait aidés à venir. Le gouvernement égyptien ne voulait de rassemblement nulle part, pas même dans les hôtels où nous logions. Avec Malika, nous sommes arrivées le 26 décembre au Caire, dans un vieil hôtel du centre ville. Vous avez lu le roman "L'Immeuble Yacoubian" d'Alaa El Aswany ? C'était un peu ça. Sur le toit, il y avait une terrasse où était aménagée une petite cafétéria. Pour s'y rendre, il n'y avait qu'un minuscule ascenseur, pas d'escaliers ! Rapidement, nous nous sommes rendus compte que des policiers en civil nous observaient sur cette terrasse, de même qu'en bas dans le hall : à longueur de journée et de nuit, ils faisaient des rondes. Bref, nous étions particulièrement surveillés donc pour se réunir, nous le faisions dans les chambres. Nous avons tenté de faire une AG (=assemblée générale) à la cafétéria mais le directeur de l'hôtel nous a demandé d'arrêter, sur ordre de la police.

Tout cela ressemble de loin à "0SS 117 : Le Caire, nid d'espions" ! Sauf que vous ne deviez pas rester au Caire mais partir par petits groupes pour El-Arish, à 40 km de la frontière avec Gaza, par transports en commun. Avez-vous réussi à vous rendre au moins là-bas ?

Et bien finalement non, car la police nous a interdit de prendre les transports en commun en prétextant que c'était trop dangereux pour nous là-bas. Nos organisateurs ont donc décidé de louer des cars. Ils en ont trouvé cinq, de manière plus ou moins clandestine : du coup, tous ont été dispersés aux quatre coins de la ville et nous sommes partis le plus rapidement possible pour ne pas laisser le temps à la police de réagir. Mais le temps de sortir du Caire et de faire une vingtaine de bornes, elle était là, à nous attendre... Nous sommes restés dans le bus, très calmes, tandis qu'il y avait des négociations. Soit nous restions toute la nuit dans le bus, avec peu de chance de passer le lendemain, soit nous rentrions au Caire. C'est ce que nous avons décidé de faire en se disant que nous ferions une grande conférence de presse sur une place de la ville une fois arrivés. Sauf que les chauffeurs de bus avaient reçu l'ordre de nous déposer là où ils nous avaient pris le matin : c'est-à-dire aux quatre coins de la ville ! Étant donné que nous étions escortés tout le long du retour, ils n'avaient pas franchement le choix. Donc la grande conférence de presse était fichue !

A ce moment là, nous sommes le 28 décembre 2009. Que décidez-vous de faire avant le 31 décembre ?

Certains ont tenté de partir par petits groupes en taxi pour El Arish. Ils sont rapidement revenus après s'être faits arrêter. Ensuite, un car a été négocié par les Américains avec Mme Moubarak (la femme du président égyptien). Prioritaires, ces derniers ont tout de même offert une place pour l'un des membres de chaque collectif étranger. Nous avons été prévenus au dernier moment : à trois heures du matin, nous disions précipitamment au revoir à notre "envoyé spécial", sur la terrasse de l'hôtel. C'était un beau moment. Mais au départ du bus, un policier s'est adressé aux personnes à l'intérieur du car en leur disant qu'elles étaient les "élus" et que les autres, dehors, n'étaient que de la racaille. Il s'agissait bien entendu de nous pousser à bout, c'était de la manipulation. Mais personne n'a souhaité partir dans ces conditions. Surtout que les Égyptiens voulaient les faire passer pour des humanitaires alors que ce n'était pas le cas : il s'agissait avant tout de dénoncer certaines choses ! Bref, les Égyptiens ont réussi leur tour et ont pu dire que nous ne souhaitions pas réellement partir...

En partant de France, saviez-vous que vous n'arriveriez pas au bout de votre voyage ?

Je dois reconnaître qu'on s'en doutait un peu mais nous espérions arriver au moins à El-Arish. Là, c'était un peu la déconfiture... Mais parallèlement, le groupe EuroPalestine, environ 300 personnes parmi lesquels notre troisième Dijonnais, est arrivé au Caire : il n'avait réservé aucun hôtel et devait partir aussitôt en car pour El-Arish. Ils s'étaient donnés rendez-vous devant l'ambassade de France. Toute la journée, ils ont attendu leur bus, qui n'est finalement jamais venu. Ils ont alors décidé de faire un sitting devant l'ambassade. La police est intervenue et les a déplacés sur la limite du trottoir : 90 mètres de long sur 4,5 mètres de large. Entourés par deux rangées de policiers, ils sont restés sur ce trottoir durant cinq jours et cinq nuits. Nous sommes bien sûr allés les voir par solidarité. Au fil du temps, l'endroit est devenu un vrai lieu de rassemblement et de réflexion. Les médias locaux étaient bien obligés de parler d'eux car ils squattaient l'une des artères principales de la ville. Les gens savaient donc ce qu'ils faisaient là et ils klaxonnaient en passant devant eux, en signe de soutien. Même les policiers ont fini par les laisser aller et venir dans la ville, en laissant une petite brèche ouverte dans le cordon de surveillance... Avec d'autres méthodes que celles de notre collectif, beaucoup plus démonstratives, ils ont réussi à faire parler d'eux.

De votre côté, que décidez-vous de faire ?

Nous avons voulu organiser une manifestation devant l'ONU mais l'idée n'a pas été retenue par la coordination des marcheurs. Ensuite, il y a eu une manifestation de journalistes égyptiens qui dénonçaient la venue du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou. Certains d'entre nous les ont suivis après avoir eu leur accord. Le soir du 31 décembre, nous avons organisé sur le toit de notre hôtel une conversation sur Skype avec Gaza. Nous avons parlé avec un représentant du comité palestinien des droits de l'homme qui nous a remerciés de notre démarche, soulignant qu'il regrettait de ne pas avoir pu nous recevoir... Le lendemain, nous avons rencontré la société civile égyptienne, l'opposition politique au gouvernement, de manière très confidentielle : nous avions rendez-vous à un angle de rue dans un quartier très populaire de la ville... Avec eux, il a été convenu de travailler ensemble à une plateforme de réflexion et de garder contact.

Mais tout était fini : vous deviez rentrer le lendemain, non ?

Oui. Mais ensuite, nous avons appris qu'un convoi humanitaire parti d'Angleterre allait passer par la porte de Rafah du 3 au 6 janvier. Avec Malika, nous avons donc décidé de prolonger notre voyage pour essayer de profiter de cette opportunité. Nous avons quitté notre hôtel en jurant de revenir le soir et nous avons pris un bus en direction de Port-Saïd, au nord du pays. A chaque fois qu'il y avait un contrôle d'identité, notre cœur ne faisait qu'un bond. Finalement, nous avons rejoint Port-Saïd puis nous avons traversé le canal de Suez en taxi pour arriver au nord du Sinaï dans l'idée de rejoindre Rafah, une fois de plus. C'est seulement au 3ème check-point que nous avons finalement été refoulées. Nous sommes rentrées à Port-Saïd, dans une auberge de jeunesse où nous avons pu vraiment rencontrer les Égyptiens. C'était une belle dernière journée, tranquille et calme contrairement au reste de notre voyage. Nous avons pris notre avion le lendemain...

Avez-vous vécu ce voyage comme un échec ?

Pas du tout ! Nous avons fait parler de nous, nous avons rencontré des gens... L'Égypte a tout fait pour nous faire échouer, cela est certain. Et on suppose que ce n'était pas seulement pour notre "sécurité". Nous pensons en effet qu'ils ne voulaient pas que l'on voit le gigantesque mur en construction à Rafah : en acier, le mur ferait 14 km de long et 20 ou 30 mètres de profondeur (pour éviter les tunnels). La construction a d'ores et déjà commencé, selon les Égyptiens de l'opposition que nous avons rencontrés, qui serait plus importante que le barrage d'Assouan. Les États-Unis financeraient le mur.

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31 janvier 2010 7 31 /01 /janvier /2010 08:26




Bloqués au Caire du 26 décembre au 5 janvier,
ils ne sont jamais entrés à Gaza,
malgré plusieurs espoirs et tentatives collectives ou individuelles.
Sur les 100 marcheurs de 43 pays,
500 composaient la délégation française,
dont 300 EuroPalestine
et 200 du Collectif national (AFPS, ICPPP, GP, NPA).


On l'entend ici et là
dans des groupes locaux
au sein de réunions qui ne cachent plus!!
des photos
des vidéos
des sources circulent
on en parle enfin
de ce mur
ce mur qui descendrait à 35m sous terre
au dessous du niveau de la mer
renforcés de barbelés électrifiés
dont la présence ne doit désormais être vue
ni par occidentaux
ni personne
dont l'existence justifie à elle seule
la répression ouverte ayant eu lieu il y a quelques semaines au Caire
alors que de source autorisée, nous savions pour sûr que cette Marche devait bel et bien avoir lieu !!

- ce refoulement des 5 bus à la sortie du Caire ce 28 décembre
NON, on ne pouvait le percevoir !!
et ces 1500 marcheurs n'y sont pas allés à l'aveuglette sans une once de certitude
bien qu'entâchée certes de quelques doutes ...

- de même quant à ce sit in devant l'ambassade de France, il n'a pas été prévu bien sûr mais bel et bien été émargé au su d'un non respect d'accords ( voir Capjipo et Europalestine.. ) quant à la venue de bus dans le même temps, et c'est bien peu à peu au fur à mesure de nouvelles paralysant la Marche que divers mouvements de soutien pro-palestiniens eurent lieu ci et là dans la capitale cairote .

- Jusqu'à cette fin d'année où il devait se faire un dernier départ avorté suite à une info de ce car de touristes contrôlé puis refoulé dans le sud du Sinaî.
Je ne citerai pas les différentes démarches individuelles en direction de Rafah ayant avortées diversement elles aussi.

La conclusion étant une vidéo conférence avec Gaza au soir du 31/12 concomittante avec d'autres actions diffuses telles que le soutien sans faille aux squatteurs toujours du côté de l'ambassade de France, faisant suite à cette manifestation à l'ambassade d'Israêl, suivant de peu cette autre devant la Maison des Journalistes, ou la grève de faim de cette dame de 85 ans que beaucoup allèrent soutenir etc etc .. ... ...

- de même quant à la non attente ou au non vouloir des palestiniens quant à la venue des marcheurs, elle est bien sûr complètement erronée et n'a juste suffit qu'à une déstabilisation des différentes équipes, nous savons là encore qu'il s'agit d'une manipulation justifiant la plupart des derniers événements et représailles.

Mais que dire de ces bruits qui courent désormais sans se voiler, certes les sources sont diffuses pourtant nous le savons bien l'authenticité ne fait pourtant aucun doute, d'une offensive dès le printemps à l'encontre de Gaza, justifiant le tout...

- le mur lui-même
des spécialistes, des scientifiques désormais s'accordent pour dire les dangers, les dégâts quant à l'asphyxie des canaux sous Gaza.

- les répressions diverses et autorisées, voire le refoulement et retour manu militari d'organisateurs occidentaux ( voir convoi Galloway).

- la désormais militarisation du nord Sinai générant l'impossibilité totale de toute main tendue à la population gazaouie dès lors cernée, étouffée.

Nous savons bien aussi que tout ce système répressif aurait contribué malgré tout à briser le silence et dénoncer les exactions d’Israël et les compromissions internationales, mais cela effacera-t-il l'échec programmé d'une marche revendiquée ..?

De même, pouvoir dénoncer les travaux gigantesques amorcés puis entretenus pour construire le mur à Rafah, voire la possibilité d'un travail commun dans l’avenir pour certains, tout cela effacera-t-il l'amertune et les blessures de cette fin de non recevoir en ce passage anniversaire de début d'année ?

N'oublions pas non plus, ce 31 décembre, 1500 à 3000 personnes dont une majorité de palestiniens et israéliens issus d’organisations israélo-palestiniennes, de Scheikh Jarrah, et 1500 internationaux (USA, Japonais… etc..) venus en car de Jérusalem à Erez : grande manifestation devant le mur où ils n’ont pas vu les Gazaouis, mais ils se sont entendus.
Dans le même temps, une grande manifestation à Tel-Aviv fut organisée par les israéliens pacifistes.

Alors devons-nous demeurer spectateurs non plus de bruits, de rumeurs ?? mais de quasi certitudes désormais, ou nous positionner enfin face à génocide annoncé dans nos enclâves diverses et nous manifester sur une opposition réelle sans attendre les premièrs prémices et assister à une situation que nous aurions entérinée par une position de non ingérence qui nous incombe tous ??

pour
Harangue/collectif Marche
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8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 23:37
Tout passe
et tout demeure
Mais notre affaire est de passer
De passer en traçant
Des chemins
Des chemins sur la mer

Voyageur, le chemin
sont les traces de tes pas
c'est tout ; voyageur
il n'y a pas de chemin,
le chemin se fait en marchant.
Le chemin se fait en marchant

et quand on tourne les yeux en arrière
on voit le sentier que jamais
on ne doit à nouveau fouler.
Voyageur, il n'est pas de chemin,
rien que des sillages sur la mer.

Conseils
Il faut savoir attendre,
attends le flux de la marée,
- comme une barque sur le rivage -,
sans que le départ t'inquiète.

Quiconque attend
sait que la victoire est à lui ;
car la vie est longue
et l'art est un jouet.

Et si la vie est courte
et si la mer n'arrive à ta galère
attends sans partir et espère toujours,
car l'art est long et, d'ailleurs,
c'est sans importance.         
         


 
  Antonio MACHADO

SDC10664.JPG

Todo pasa y todo queda,
pero lo nuestro es pasar,
pasar haciendo caminos,
caminos sobre el mar.

Nunca persequí la gloria,
ni dejar en la memoria
de los hombres mi canción;
yo amo los mundos sutiles,
ingrávidos y gentiles,
como pompas de jabón.

Me gusta verlos pintarse
de sol y grana,
volarbajo el cielo azul,
temblar súbitamente y quebrarse…

Nunca perseguí la gloria.

Caminante, son tus huellas
el camino y nada más;
caminante, no hay camino,
se hace camino al andar.

Al andar se hace camino
y al volver la vista atrás
se ve la senda que nunca
se ha de volver a pisar.

Caminante no hay camino
sino estelas en la mar…

Hace algún tiempo en ese lugar
donde hoy los bosques se visten de espinos
se oyó la voz de un poeta gritar
“Caminante no hay camino,
se hace camino al andar…”

Golpe a golpe, verso a verso…

Murió el poeta lejos del hogar.
Le cubre el polvo de un país vecino.
Al alejarse le vieron llorar.
“Caminante no hay camino,se hace camino al andar…”

Golpe a golpe, verso a verso…

Cuando el jilguero no puede cantar.
Cuando el poeta es un peregrino,
cuando de nada nos sirve rezar.
“Caminante no hay camino,
se hace camino al andar…”

Golpe a golpe, verso a verso.

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24 décembre 2009 4 24 /12 /décembre /2009 12:06
gaza7.JPG
Conférence de presse

avec la présence des participants
à la Marche Mondiale de Gaza

maison des Associations
rue des corroyeurs
Dijon

Participants ...

Jeanne Marie JACQUEMOND
Jean Jacques DUCROT
G Malika RAMANI

Au sein des intervenants on note la présence de...
- Evelyne REBERG
- Mohamed ATEB
- Jean Gabriel JACQUEMOND
- Françoise FAITOT


Présence de la chaîne régionale FR3


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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 17:19
affiche gaza


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programmation et RDV

Soutenons la résistance populaire
non-violente en Palestine
Rassemblement, comme chaque premier vendredi du mois, de 17h à 18h, place F. Rude.
Prochain rassemblement : vendredi 6 décembre 2013

 

et ...

  saluons à cette occasion

le départ de Dijon de l'un de nos fidèles camarades Daniel Noisette

 

********** 

A 20h 30

Vendredi 1er octobre 2010

  Conférence –débat animée par

Taoufiq Tahani

« Le développement de la résistance populaire et non-violente en Palestine »

Salle Agrippa d’Aubigné

14 bd de Brosses DIJON

Entrée libre

 

********** 

 

Vendredi 1er octobre 2010

De 17h à 18h, place François Rude

Rassemblement de soutien à la résistance populaire et non-violente palestinienne,

**********

Ziad Medoukh, qui dirige le département de français de l’université de Gaza,
sera de passage à Dijon, le lundi 5 octobre.

Présence possible du  Bien Public et contact pris avec FR3 et les radios dijonnaises.

On notera la présence du Collectif Solidarité Palestine 21

Pouvoir dialoguer avec un habitant de Gaza étant une opportunité à ne pas manquer !!


**********

Le prochain rassemblement de soutien à Bil’in, Ni’lin,…
aura donc lieu le vendredi 2 octobre 2009,
place F. Rude de 17h 30 à 18h 30
.

  les médias sont invités
à une conférence de presse
à 17h 30, place F. Rude
.

 

**********

Conférence débat sur Le Conflit Israélo Palestinien avec Marie Jo Parbot ......

Le mercredi 17 juin
 20 heures
A Quétigny,
Salle Nelson Mandela

**********
Le collectif local de soutien
de Salah Hamouri
sera présent le 5 juin place du Bareuzai, à Dijon l'occasion du sit in mensuel de soutien à Bil'In.

venez nous rejoindre la situation actuelle de Salah est préoccupante  voir derniers articles ...


http://salah-hamouri-collectif-21.over-blog.com/

**********

CONCERT GOSPEL
AMNESTY INTERNATIONAL
SINGAL GOSPEL FUNK PROJECT # 1
JEUDI 16 AVRIL 2009.
THÉÂTRE DES FEUILLANTS à DIJON
20H30


**********


conférences :

1° Nahal Chahal, initiatrice e
t organisatrice des missions
des “internationaux”
en Palestine occupée  (CCIPPP)

 “analyse du conflit, perspectives.

Le vendredi 20 mars à 20 heures à la Maison des Associations.

2°Barbancey, journaliste à l’Huma : Gaza
Le mardi 30 mars, à 20 heures, Maison des Associations.
 **********


Dans le cadre de la Semaine Nationale d’Action contre le Racisme, le MRAP propose, le 21 Mars prochain, la projection
 du film « Dans la Vie »
 de Philippe Faucon,
 film sorti en 2008.


Cette projection aura

lieu au cinéma Eldorado,

à 16h, et sera suivie

d’un débat pour les personnes

intéressées par le sujet. 


**********

Le 9 février,

Ciné/citoyens,47,rue Devosges

projection du film
Iron Wall et discussion.

  **********
Film sur Chomsky.
Eldo, 20 heures 30, le 31/1/09.
Venue de Mermet pour présenter.
Toutes les places sont déjà prises.
L’AFPS/UJFP tiendra un stand de produits palestiniens à l’entrée.

 
**********
 Samedi 24 Janvier 15 H00
rassemblement  devant
 la préfecture de Dijon.
A l'appel du ...
Collectif 21
pour une Paix Juste
et Durable
entre Palestiniens et Israéliens


**********

Le collectif pour une paix juste appelle
à une manifestation pour la Palestine
le 5 décembre,
à Dijon,
Place du Bareuzai,
à 17 heures.
Venez nombreux !

**********

 

29/11/2008
Soirée Palestine, en partenariat avec la M J C  de Chenôve.
Soirée festive et musicale avec le trio Salameh (oud, chant et percussions)
Ambiance arabo/andalouse
Ventes de produits palestiniens.
MJC
7, rue de LONGVIC
21000-CHENOVE
Tel : 03/80/52/18/54


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Du 28/11/2008 au 14/12/2008
MJC de CHENOVE
Exposition photographique "Jérusalem dépouillée"  :
Exposition ouverte
tous les jours ouvrés,

de 14 à 19 heures.